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LA BOV
Encore une abréviation barbare issue tout droit de ribrizeur land. La Bail Out Valve est en fait un embout buccal sur lequel se trouve un 2ème étage. Le but est de pouvoir basculer rapidement de la boucle au circuit ouvert. En cas de doute sur le contenu de la boucle ou de noyade de celle-ci, en cas d’hyper ou d’hypoxie ou encore d’essoufflement, la BOV peut faire la différence face à une situation alarmante au départ et qui peut facilement devenir critique s’il faut rapidement basculer en ouvert sur les relais. Plus de détendeur forcément introuvable au moment où et qui se prend dans tout ce qui se trouve sur son passage…Là, il suffit de basculer un levier pour retrouver notre bon vieux circuit ouvert. Cela ressemble furieusement à un outil fonctionnel, efficace et capable d’accroitre sa sécurité. Certes…mais il faut ponctuer de quelques bémols tout de même : - l’embout est plus volumineux, plus lourd et la sangle de maintien peut devenir intéressante pour des plongées longues. - c’est plus complexe qu’un simple DSV, avec aussi plus de joints. On augmente donc proportionnellement les risques d’ennuis et de fuites… - selon le modèle, la conception fait souvent que la résistance respiratoire est plus élevée qu’un DSV. - comme d’habitude, le risque le plus important vient du plongeur lui-même. Comme en circuit ouvert, il est tout aussi facile avec une BOV de respirer le mauvais mélange au mauvais endroit, un mélange hypoxique en début de plongée par exemple … Outre le fait que la BOV sert à passer facilement et rapidement en CO, elle facilite aussi l’injection de diluant off-board et l’évacuation de gaz excédentaire de la boucle en cas de remontée sur bail-out. Le choix s’est porté sur la BOV JJ-CCR , principalement pour 3 raisons : - le prix, pas donné mais ce n’est pas la plus chère des BOV - son encombrement et son poids sont minimes par rapport à d’autres - sa fabrication et sa conception font que la résistance respiratoire est semblable au DSV d’origine du rEvo II (un Draëger). La respiration sur le 2ème étage semble convenable, même profond, il faut par contre probablement régler la résistance du détendeur. Un bon compromis donc pour conserver un WOB honorable tout en augmentant sa sécurité. La connexion de l’ensemble n’échappe pas à la guerre des connectiques et de la compatibilité des éléments entre eux. Une vraie partie de plaisir… (merci, Jacques pour ton aide précieuse !). Heureusement des kits tout fait se trouvent chez certains fournisseurs (Innodive par exemple) et facilitent la vie. Donc, pour les branchements
-en partant du premier étage : NB : La QC 6 est un raccord rapide auto-obturant qui permet les connexions/déconnexions en plongée sans risque d’entrée d’eau. Attention tout de même au sable ou petits cailloux qui pourraient venir gêner, voir carrément empêcher la connexion. D’où les bouchons, intéressant à acheter également, ça limite les risques… Remarque : à priorila QC 4 n’aurait pas un débit suffisant pour alimenter le 2ème étage.
Ou bien : A noter, il existe des raccords
rapides à mettre en sortie de BOV, simple et rapide pour la connexion mais,
c’est un raccord suplémentaire…
Remarque : pour un montage « propre », un long Miflex de 110cm permet un bon routage en se servant du harnais. Les divers raccords adaptateurs se trouvent dans les boutiques et cyberboutiques spécialisées "tech". Attention avec les raccords 1/4, en Europe on propose généralement du 1/4 BSP, qui est légèrement différent du NPT d'origine Nord-Américaine. Or les QC6 ne sont proposées qu'en 1/4 NPT, donc bien s'assurer que le raccord est du même type (on trouve souvent "1/4" sans mention du type). Note : pour faire office de valve de surpression, par souci d’ultime redondance et pour pouvoir éventuellement donner du gaz, j’ai quand même conservé un 2ème étage sur chaque relai. Cela m’a d’ailleurs bien rendu service, comme quoi la BOV n’est pas toujours l’arme absolue, elle peut aussi être défectueuse à un moment…
Les inconvénients de la JJ : - et pas des moindres (!!), certains modèles (comme le mien L) souffrent d’entrées d’eau intempestives : problèmes d’usinages ??... avec, je pense, des fuites via la soupape d’expiration du 2ème étage. Pas glop ! - comme beaucoup de ces consœurs, la manipulation OC/CC n’est pas des plus souples…Graisser les joints intérieurs améliore franchement l’opération. - Il est quasi impossible de mettre les 2 HUD’s sans avoir celui de droite qui se retrouve en dehors du champ de vision. Pour cela, j’ai fabriqué un support en plastique qui vient se clipper sur le levier de la BOV. Il place les HUD’s de façon optimale pour une bonne lisibilité, sans entraver le champ de vision du masque. Ce support de HUD’s forme une « pince ergonomique » qui améliore la préhension et augmente le bras de levier pour faciliter le passage OC/CC. Une seule main suffit. Le plus avec ce type de montage est que lorsque l’on bascule en OC, les HUD’s, inutiles à ce moment là, tournent avec le levier pour s’effacer complètement sous la BOV , pratique…
Voici une version améliorée de la console (sur Shearwater upgradé en Predator, le top !) : - Utilisation d’un plastique transparent incassable, la lisibilité est grandement améliorée…En plus, en cas de rayures légères, il suffit de chauffer doucement la surface au pistolet thermique pour que l’écran retrouve une deuxième jeunesse ! - Plus d’ajourage dans le compartiment du Liquivision, mécaniquement c’est plus solide. Le plastique épouse parfaitement les 4 faces de l’ordi, cela permet de bien transmettre les « tapotages » nécessaire à son utilisation.
LA COQUE INTEGRALE
Après la coquo d’el carbono, c’est au tour de la coquo d’el plastiquo de voir le jour, restriction budgétaire oblige… Maintenant que la config dans son ensemble est « stable », j’ai enfin pu me mettre sur ce gros chantier. Le mot d’ordre est simple : protéger la machine des chocs et agressions en tous genre. La coque est en plastique PE très léger de 3 mm et épouse globalement le rEvo, sauf en quelques endroits stratégiques… L’accrochage se fait par clipsage au niveau des bouteilles latérales par le biais de retours englobants de la coque. Pour une bonne stabilité et pour éviter le décrochage de la coque, il y a aussi un retour au niveau des 1er étages ainsi qu’une prolongation au niveau des tuyaux respiratoires qui cale la coque avec la barre de portage. Aucun risque de perdre la coque en route… Pour bien protéger les parties critiques, la coque est surélevée d’1 cm au niveau des cassettes et de 5 mm sur tous les 1er étages. Protéger le capot des cassettes semble évident mais l’emplacement des 1er étages fait qu’ils sont naturellement peu exposés alors pourquoi donc cet acharnement à tout vouloir protéger ? Ormis les protéger d’un choc direct, rare mais pas impossible (qui a dit spéléo ?), cela évite surtout que le 1er étage d’oxy à pression constante ne puisse se dévisser. Explications : en surface, un dernier problème de derrière les fagots à régler et l’on ferme le robinet d’oxy pour pas gaspiller le temps de bricoler. On peut aussi fermer l’oxy et passer en circuit ouvert le temps de franchir une foutue étroiture à l’effet venturi diabolique…Bref, n’importe qu’elle situation qui fait que l’on ferme l’oxy et que cela dure assez longtemps pour que tout le contenu du 1er étage se vide progressivement dans la boucle, jusqu'à ce qu’il n’y ait plus du tout de pression. Là, un petit coup suffit pour faire tourner le 1er étage et trouver une belle fuite quand on rouvre le robinet !! Pas glop, surtout quand y’a personne pour le resserrer… Pour la version « profonde » du rEvo avec la S06 d’oxy en plus, j’ai aussi confectionné une petite coque indépendante de l’ensemble et clipsable directement sur la bouteille. Evidemment, les coques laissent les 4 robinets libres d’accès…
Le kit off-board
C’est un bouton d’injection qui permet d’envoyer du gaz dans le faux poumon expiratoire. Il y est relié via une sortie de la valve de surpression du recycleur pour y brancher n’importe quel tuyau MP. Le raccord au niveau du kit se fait par un direct system classique (le kit est vendu avec un tuyau MP que l’on peut couper à la longueur souhaité grâce à un raccord direct system spécial qui se visse sur le tuyau). Ceci constitue la partie basse du kit. Sur la partie haute, on trouve le bouton d’injection à proprement dit (type inspiration) sur lequel se trouve aussi un téton pour raccorder la source de gaz par un direct system. On peut mettre ce kit où l’on veut, reste à trouver l’endroit le mieux placé pour y avoir accès facilement et rapidement pour l’injection et les branchements.
Au choix, on peut y brancher du diluant ou de l’oxy. Pour moi, l’objectif principal est d’en faire une redondance d’oxy in-bord. Deux intérêts à cela : - redondance d’oxy en cas de défaillance de la vanne KISS, de l’injection manuelle, du solénoïde ou tout bêtement la bouteille d’oxy vide ! Bref, toute défaillance de la ligne oxy. - pour des plongées profondes, au moins supérieures à 100 M, on ne peut plus compter ni sur la vanne KISS ni sur l’injection manuelle d’oxy du fait du 1er étage qui est à pression constante. Un avantage du rEvo hybride est qu’il permet d’aller plus profond mais il faut condamner l’orifice de la vanne KISS et enlever le capuchon du 1er étage pour qu’il soit soumis à la pression ambiante. On se retrouve alors en tout électronique, entièrement sous le contrôle du solénoïde, avec toujours la possibilité d’injecter manuellement. Avec le kit off-board, on peut garder une config de base en mécanique, avec la vanne KISS tout en bénéficiant de l’assistance électronique jusqu’à plus ou moins 110M puis injecter l’oxy via le kit qui est branché sur un 2ème étage compensé, qui ne dépend donc plus de la profondeur. Remarque : ils existent d’autres solutions pour dépasser les limites d’une vanne KISS : revoir la MP du 1er étage et le diamètre de l’orifice de la vanne KISS ou encore une vanne KISS réglable… Une S06 alu alimente le kit, elle est placée sur le côté droit du recycleur avec le même système de fixation rapide que les autres bouteilles. Pour les mêmes raisons que la bouteille de diluant, il a fallu faire une cale pour que le cul ne butte pas sur la poignée de portage. Attention au choix de la bouteille, sa position et le type de robinetterie. Il faut avoir accès au robinet de l’oxy in-board. Pour en contrôler la pression, un mini mano arrive au niveau du kit. Sur le même principe de routage des tuyaux sur le rEvo, il est possible de faire passer un long tuyau MP, reliant le 2ème étage compensé au bouton d’injection du kit, entre les cassettes et la bouteille d’oxy in-board du recycleur. Forcément, le 2éme étage est soumis à la pression ambiante. Même avec 4 bouteilles, l’ensemble reste assez compact mais ce n’est pas la config de tous les jours non plus. Elle est utilisée pour des plongées engagées : loin, profond, longtemps, les trois en même temps…
Conséquences en cascade du kit : Quatre bouteilles c’est bien beau mais avec tout ça, il n’y a plus de place sur la coque du recycleur ! Embêtant pour les accus du phare que je voulais garder « in-board » pour plomber un peu la machine et ne pas encombrer le harnais…Il reste bien un petit espace : le dessus de la grille qui protège les cassettes mais qui est déjà occupé par 2 kg de plomb ! Qu’à cela ne tienne, il faut maintenant caser le plombage sous la grille. Pour ça j’ai réalisé un plomb de 2.5 kg sur moulage, de la forme du dessous de la grille. Ce plomb vient se glisser dans une poche en plastique fabriquée elle aussi au volume du dessous de la grille. Un capot latéral, amovible par un système de coulisse, vient fermer la poche et permet donc de retirer le plomb ou de changer de lestage si nécessaire. Pour rigidifier la grille qui va recevoir le poids du plomb et des accus, la poche repose sur la cassette du haut par l’intermédiaire d’un petit plot. Ainsi, l’ensemble est stable et évite que la grille ne vienne taper sur le capot des cassettes en cas de choc.
La poche est solidarisée à la grille par 4 vis, elles serviront aussi à fixer le dispositif de fixation pour les accus. Pour garder un aspect fonctionnel et pratique à l’ensemble, j’ai reproduit le système à glissière d’attache des bouteilles utilisé sur le rEvo. Une glissière inox est incrustée dans une plaque de plastique rigide, elle-même solidarisée à la grille grâce aux 4 vis de la poche. De la sorte on peut attacher les accus (ou une autre bouteille ?!?) facilement et rapidement sur le dessus de la grille.
Il y a deux inconvénients pour ce montage, l’un est résolvable, l’autre non : - les accus sont directement exposés aux chocs : une protection plastique, rehaussée au niveau de la grenouillère, vient se clipper sur la barre de portage et protège efficacement l’ensemble. - L’accès à la barre de portage est sérieusement réduit, il reste les extrémités, moins pratique mais utilisable tout de même…
Outre l’optimisation de l’espace sur la coque, cette adaptation a eu deux effets assez inattendus : - le plombage et les accus concentrent un poids non négligeable sur le point le plus haut du recycleur, cela améliore l’assiette. De plus, ce poids est centré par rapport à l’axe du rEvo. Tout cela procure un bon équilibre et rétablit efficacement l’assiette. - Comparé à un montage latéral, cet emplacement pour les accus redonne une complète autonomie quand à la manipulation de l’interrupteur.
La « Triple MAV »
Ou valve d’admission triple… C’est en fait la même chose que le kit off-board mais avec trois connections possibles simultanément. On y trouve une sortie commune, connectée à la valve de surpression via un Miflex MP et 3 entrées possibles sur direct- system avec pour chacune un bouton d’injection. Autant dire que l’on a que l’embarras du choix quand au type de montage…
A l’origine, c’est la pièce maîtresse du rEvo dans sa version « pure ». A savoir, une version mécanique où les injections d’oxy et de diluant sont déportées sur le devant du harnais, avec la possibilité de brancher un diluant off-board. Même la vanne Kiss est comprise dans ce boîtier… La vanne Kiss est optionnelle et l’on peut choisir les raccords du boîtier : type direct-system ou 2ème étage. Pour le montage originel : http://www.revo-rebreathers.com/uploads/downloadsitems/How_to_install_the_triple_manual_add_valve.pdf Ici, l’objectif n’était pas d’envisager une transformation en « pure rEvo » mais de résoudre simultanément et en une seule fois plusieurs soucis, et même d’en anticiper d’autres. Le tout avec une seule et unique pièce : - Déporter l’injection d’oxy : même si cela peut surprendre certains, sur des plongées longues et froides, j’ai déjà été vraiment gêné pour injecter. Engourdis par le froid, je dois vraiment forcer pour appuyer sur ce fichu bouton à l’arrière de la coque ! D’avoir une injection accessible facilite grandement l’opération dans ces cas là. J’ai vraiment vu la différence avec le kit off-board que l’on peut attraper à pleine main et le petit bouton qu’il faut aller attraper du bout du doigt, gelé… Autre situation en faveur d’une injection déportée : l’utilisation d’un recycleur redondant latéral qui peut sérieusement entraver l’accès au bouton d’injection… - De la même façon que le kit off-board, pouvoir alimenter le recycleur en oxy pour des plongées profondes via un 2ème étage soumis à la pression ambiante et relié à la S 06. - Avoir une possibilité d’entrée facile et rapide d’un mélange off-board. Toujours plus pratique que de devoir débrancher le tuyau du kit off-board et d’en rebrancher un autre ou, que de devoir injecter du gaz dans la boucle via la BOV… Pour le montage, la démarche est la même qu’avec le kit, à savoir lui trouver LA place, celle qui nous convienne vraiment. J’ai tout simplement débranché mon kit pour le remplacer par la valve triple, ça va aussi bien et tous les boutons sont accessibles. Un sandow élastique la maintien sur le tuyau HP du mano oxy du rEvo, il permet aussi de bloquer le petit mano oxy provenant de la S06. Les trois tuyaux MP branchés sur le dessus passent dans l’épaulette du harnais. De gauche à droite il y a : le tuyau de sortie qui enverra les gaz dans le recycleur, le tuyau provenant de la 3L d’oxy du rEvo et enfin celui relié à la S06.
Le problème est qu’il n’est pas évident de loger tout ce petit monde pour avoir une config propre. Au total il y a 4 tuyaux (le tuyau HP de la 3L d’oxy, le tuyau MP pour l’injection déportée d’oxy de la même 3L, le tuyau MP de la 3L de flottabilité pour l’inflation de la combi et celui de la S 06 pour l’injection d’oxy en profondeur) à faire passer sur la coque, le long des cassettes, et sans gêner la mise en place de la 3L d’oxy ! Là, c’est un peu galère et il faut vraiment faire un routage le plus compact possible. Pour bien gainer l’ensemble j’ai rajouté 2 petites bandes élastiques.
Remarque : en ajoutant le tuyau pour l’injection déportée d’oxy, il faut déplacer la valve de surpression du 1er étage oxy de la 3L. Je l’ai replacée sur la sortie MP du tuyau qui relie ce 1er étage au recycleur via un Té vertical avec 2 sorties 3/8 unf femelles et une entrée 3/8 unf mâle, disponible chez Under Water Equipements : http://www.underwater.fr/FicheProduit.asp?NumProduit=381
Divers
Les petits plus et astuces… La « bavette » : Sur le rEvo II, il y a un point de faiblesse au niveau de l’encastrement de l’inflateur sur la coque. Celle-ci est abrasive et peut vraiment finir par endommager le revêtement de la wing. Une solution simple (merci JM BLACHE !), il suffit de découper un morceau de chambre à air et de l’insérer autour de la fixation de l’inflateur. Simple, efficace et pas cher !
Modifications sur le harnais : 1- Les D ring’s XL : Déjà utilisés sur mon harnais à « l’anglaise », ils se révèlent très pratiques d’utilisation. Sur le harnais Deepoutdoors, les sangles des bretelles sont cousues au matelassage, ce qui ne facilite pas la tâche. Il faut faire une « greffe » de sangle qui supportera le D ring et la coudre sur la bretelle. Une bonne machine un bonne couture et du fil nylon costaud s’imposent…
2- La « queue de castor » : Elle permet de faire un montage sidemount des bailouts. Elle est aussi pratique pour y accrocher les dévidoirs. On les trouve facilement et rapidement, en plus, on libère un peu les D rings du harnais. On peut la fixer facilement avec une sangle qui passe dans les fentes de la plaque lombaire.
3- Le harnais « super de luxe ! » : Toutes les sangles du harnais ont été coupées à mesure. A leurs extrémités un morceau de tuyau chirurgical a été cousu dans le rabat de la sangle ! Ca frise la schizophrénie… et ça donne aussi une meilleure prise en main…
4- Fixation des rEvodreams : Même si les consoles comportent des affichages secondaires, les afficheurs qu’elle contient peuvent devenir principaux si le Shearwatter tombe en panne…De plus, même si l’on est en CCR, cela ne dispense pas de jeter un œil de temps à autre aux manos. Pour protéger les câbles des rEvodreams (ils sont fragiles, je confirme !), il faut loger les consoles à l’abri des frottements et de tout ce qui pourrait venir s’y prendre. Cela fait déjà deux bonnes raisons de ne pas les laisser trainer n’importe où… Pour ne pas encombrer les anneaux du harnais, j’ai cousu une sangle juste au dessus des D rings et qui contient une boucle élastique. Ainsi, une fois accrochées, les consoles se retrouvent croisées sur le haut de la poitrine. A cet emplacement, elles savent se faire oublier, elles sont bien maintenues (attention aux mouvements de traction importants sur les câbles des revodream, c’est fatal !) et sont bien protégées. Cela ne gêne pas les mouvements de la boucle et s’il faut consulter les manos ou les afficheurs, il suffit de tirer sur la console pour que l’élastique la ramène dans le champ de vision. PS : sur la console, côté diluant, arrive un mini mano pour la bouteille dédiée à la flottabilité.
5- La back plate coulissante : Comme sur le rEvo III, je l’ai retaillée pour y dessiner des encoches de chaque côté. C’est beaucoup plus pratique pour l’attraper…
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